« Andrea pourrait être la mère de n’importe qui, et sa fille pourrait être la sœur ou l’amie de n’importe qui (..) Je voulais que l’histoire capture les ténèbres du passé, mais qu’elle diffuse aussi de la lumière et de l’inspiration grâce à leur persévérance. Je me sens chanceux que mes personnages aient également ressenti le besoin de raconter leur histoire de cette façon, et que la caméra soit devenue ainsi un élément contribuant à leur processus de guérison. »

Botond Püsök, 2022.